NOLI ME TANGERE
Hésite le flocon dans le ciel bleu
A nouveau, le dernier flocon de la grande neige.
Et c’est comme entrerait au jardin celle qui
Avait bien du rêver ce qui pourrait être,
Ce regard, ce dieu simple, sans souvenir
Du tombeau, sans pensée que le bonheur,
Sans avenir
Que sa dissipation dans le bleu du monde.
‘Non, ne me touche pas’, lui dirait-il,
Mais même dire non serait de lumière.